Pays
États-Unis
Région
Plusieurs
Type d’organisme
ONG
Type de publication
Rapport
Langue originale
Anglais
Le rapport intitulé Pollinators and Roadsides: Best Management Practices for Managers and Decision Makers (Pollinisateurs et bords de routes : pratiques exemplaires de gestion pour les gestionnaires et les décideurs), produit par la Xerces Society et la Federal Highway Administration (Administration fédérale des autoroutes) à l’intention des gestionnaires américains des bords de route et des emprises (comme les employés du ministère des Transports (DOT)), présente les étapes descriptives et prescriptives qui permettent d’intégrer les pratiques bénéficiant à l’habitat des pollinisateurs aux actuelles méthodes de gestion des emprises.
Le document décrit les méthodes d’identification des habitats existants à des fins de préservation ou de restauration, ainsi que le fauchage ou la fenaison, le brûlage, le pâturage, l’utilisation d’herbicides/de pesticides et l’ensemencement. Parce que les emprises constituent de nombreux habitats/couloirs où l’on trouve des communautés végétales du premier stade de succession composées de nombreuses plantes herbacées non graminoïdes, les pratiques exemplaires qui ciblent ces emprises peuvent améliorer l’habitat où les pollinisateurs butinent et se reproduisent dans les régions géographiques clés. Les deux principales méthodes d’amélioration de l’habitat dans les emprises grâce aux pratiques exemplaires consistent à modifier les actuels modes de gestion de la végétation et à augmenter la proportion de plantes indigènes au sein des communautés végétales des emprises.
Le document fournit des renseignements sur l’importance des pollinisateurs, la diversité des pollinisateurs, leur profil biologique et écologique, et la baisse du nombre de pollinisateurs, incluant les monarques. Le rapport décrit en détail la végétation de bord de route et les pratiques de gestion, et présente des études de cas des ministères des Transports des États illustrant le succès de la gestion de l’habitat des pollinisateurs. Les recommandations relatives au fauchage et à la fenaison traitent du moment et de la fréquence de ces activités, en particulier du fait qu’on se limite à une fois (fenaison) ou à deux fois (fauchage) par saison de croissance, et qu’on les repousse après le premier gel, même s’il existe une certaine marge de manœuvre pour la gestion régionale, afin de permettre une planification flexible. Les recommandations relatives aux herbicides/pesticides portent sur le type de produits chimiques et sur la méthode d’application visant à minimiser les dommages pour les espèces non ciblées, ce qui inclut le moment de l’application, le composé chimique et l’identification des plantes envahissantes.
Les recommandations relatives au brûlage et au pâturage dirigés portent sur le moment où ont lieu ces activités, et sur leur fréquence, leur intensité, leur durée et leur étendue. Le rapport examine aussi l’utilisation qu’on fait des plantes indigènes dans les emprises, en mentionnant les avantages additionnels comme la réduction de la couverture d’espèces envahissantes, la protection contre l’érosion des sols, l’esthétique et la valeur pour les pollinisateurs identifiés. Il contient un tableau énumérant les espèces indigènes appropriées et leur valeur/leurs caractéristiques. Les recommandations portent sur la diversité de plantes appropriée, le moment de la plantation et la durée. Le document propose également un cadre décisionnel relatif à la gestion et un guide sur la façon de surmonter les obstacles courants et d’apporter des changements aux pratiques de gestion (Hopwood et coll., 2016).
Le document décrit les méthodes d’identification des habitats existants à des fins de préservation ou de restauration, ainsi que le fauchage ou la fenaison, le brûlage, le pâturage, l’utilisation d’herbicides/de pesticides et l’ensemencement. Parce que les emprises constituent de nombreux habitats/couloirs où l’on trouve des communautés végétales du premier stade de succession composées de nombreuses plantes herbacées non graminoïdes, les pratiques exemplaires qui ciblent ces emprises peuvent améliorer l’habitat où les pollinisateurs butinent et se reproduisent dans les régions géographiques clés. Les deux principales méthodes d’amélioration de l’habitat dans les emprises grâce aux pratiques exemplaires consistent à modifier les actuels modes de gestion de la végétation et à augmenter la proportion de plantes indigènes au sein des communautés végétales des emprises. Le document fournit des renseignements sur l’importance des pollinisateurs, la diversité des pollinisateurs, leur profil biologique et écologique, et la baisse du nombre de pollinisateurs, incluant les monarques.
Le rapport décrit en détail la végétation de bord de route et les pratiques de gestion, et présente des études de cas des ministères des Transports des États illustrant le succès de la gestion de l’habitat des pollinisateurs. Les recommandations relatives au fauchage et à la fenaison traitent du moment et de la fréquence de ces activités, en particulier du fait qu’on se limite à une fois (fenaison) ou à deux fois (fauchage) par saison de croissance, et qu’on les repousse après le premier gel, même s’il existe une certaine marge de manœuvre pour la gestion régionale, afin de permettre une planification flexible. Les recommandations relatives aux herbicides/pesticides portent sur le type de produits chimiques et sur la méthode d’application visant à minimiser les dommages pour les espèces non ciblées, ce qui inclut le moment de l’application, le composé chimique et l’identification des plantes envahissantes.
Les recommandations relatives au brûlage et au pâturage dirigés portent sur le moment où ont lieu ces activités, et sur leur fréquence, leur intensité, leur durée et leur étendue. Le rapport examine aussi l’utilisation qu’on fait des plantes indigènes dans les emprises, en mentionnant les avantages additionnels comme la réduction de la couverture d’espèces envahissantes, la protection contre l’érosion des sols, l’esthétique et la valeur pour les pollinisateurs identifiés. Il contient un tableau énumérant les espèces indigènes appropriées et leur valeur/leurs caractéristiques. Les recommandations portent sur la diversité de plantes appropriée, le moment de la plantation et la durée. Le document propose également un cadre décisionnel relatif à la gestion et un guide sur la façon de surmonter les obstacles courants et d’apporter des changements aux pratiques de gestion (Hopwood et coll., 2016).