Pour faciliter la gestion du parc national de la Pointe-Pelée et l’atteinte des objectifs de gestion de la végétation, on a entrepris, il y a sept ans, la restauration active de l’habitat de savane du parc national en procédant au défrichage de la végétation, à un brûlage dirigé et à la plantation de plantes indigènes, y compris plusieurs espèces d’asclépiades.

Depuis 2011, 26,6 hectares (ha) ont été défrichés manuellement, 2,9 ha ont fait l’objet d’un brûlage dirigé, et plus de 75 000 fleurs et graminées indigènes ont été plantées, dont quatre espèces d’asclépiades indigènes. Ces zones sont idéales pour la reproduction du monarque durant l’été, et elles fournissent des sources de nourriture essentielle à l’automne, durant la migration des papillons.

• Tammy Dobbie, Parcs Canada. Communication personnelle, 2016.

Mots-clés : asclépiade, parcs